A quelques jours du départ, l’ensemble des collaborateurs ont pu rencontrer Antoine Ouvrard-Lanet à bord de son Vector 6.50 nommé LocalClimat ⛵et en savoir plus sur la Boulangère Mini-Transat, une aventure hors du commun.

Une rencontre… Un projet
C’est donc aux Sables d’Olonne que le village départ de la Mini-Transat s’est installé. Environ 90 participants ont pris possession des mythiques pontons du Vendée Globe. Les collaborateurs PRAMAC ont pu se réunir autour du bateau n°984 pour échanger avec Antoine Ouvrard-Lanet.
A quelques jours du départ, Antoine prend le temps de partager ces précieux instants avec ses différents partenaires. Il a pu revenir sur son projet qui a débuté il y a 3 ans, entre recherche de sponsors, doutes, passion et engagement… ça y est Antoine est à quelques jours de la ligne de départ.
Ce temps d’échange a permis à chacun de se plonger un peu plus dans cette aventure si particulière.
Pour rappel, la Boulangère Mini-Transat est une course en solitaire qui comprend deux étapes :
- Les Sables d’Olonne vers Santa Cruz de la Palma – Départ le 21 septembre 2025
- Santa Cruz de la Palma vers Saint-François (La Guadeloupe) – Départ le 25 octobre 2025

Dans les coulisses de la course et de sa préparation !
Les collaborateurs ont pu admirer le bateau d’Antoine Ouvrard-Lanet fin prêt pour prendre le large. C’est l’occasion de faire le point sur sa construction, ses équipements, ses outils de navigation. Mais aussi sur ce qu’Antoine a mis en place pour faciliter ses manœuvres comme les repères de cordage sur la coque.
Au regard de la taille du navire et du parcours de la course, de nombreuses questions ont porté sur la sécurité à bord et en cas d’accident comme la peinture sur le dessus du cockpit pour faciliter le repérage et le système de balise pour permettre aux secours d’intervenir rapidement sur place.
Certains collaborateurs ont également pu monter à bord et découvrir les coulisses à l’intérieur de la coque. Un espace où chaque centimètre compte et où la stratégie est de mise pour assurer une bonne navigation et un minimum de confort.
En parlant de confort, que mange un skipper pendant une course ?
Hachis parmentier, pâte bolognaise… mais sous forme de sachets lyophilisés ou appertisés, le tout réchauffé via un petit réchaud à gaz instantané ! De bons petits plats (presque) comme à la maison 😉

Convivialité, partage et cohésion…
Après ce temps d’échange très instructif, retour sur la terre ferme pour un moment de convivialité et de partage sur le rooftop de l’école de voile des Sables d’Olonne.
Quelques dernières questions sur les conditions météorologiques pour le départ et la retransmission ainsi que le suivi de la course.
Les collaborateurs ont alors pu lever leur verre et souhaiter à Antoine « Bon vent ! » .
Un très bon moment de découverte et de cohésion d’équipe.

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